Rachid Djaïdani est un des auteurs présents dans le documentaire « Nos plumes » de Keira Maameri.
Véritable événement fédérateur, le Festival international des films de la diaspora africaine (FIFDA) fait son retour à Paris dans les cinémas La Clef et Etoile. Doté d’une vision panafricaine, le FIFDA propose des films issus des quatre coins de l’Afrique mais aussi ceux qui sont réalisés par des auteurs afro-descendants, dans les Amériques et en Europe. Le festival tente ainsi de répondre à la marginalisation des cinéastes d’origine africaine en les regroupant et en initiant le dialogue interculturel via des débats.
Le film « Image » va ouvrir cette sixième édition qui se déroule du 9 au 11 septembre. Réalisé par le duo infernal Adil El Arbi et Bilall Fallah, réalisateurs du sulfureux « Black », ce thriller nous plonge là aussi dans l’univers violent de Molenbeek. Eva Hendricks, journaliste part enquêter sur les émeutes qui secouent cette commune bruxelloise et fait la rencontre de Lahbib, qui devient son guide « dans son monde complexe et brutal ».
Le film « Image » va ouvrir cette sixième édition qui se déroule du 9 au 11 septembre. Réalisé par le duo infernal Adil El Arbi et Bilall Fallah, réalisateurs du sulfureux « Black », ce thriller nous plonge là aussi dans l’univers violent de Molenbeek. Eva Hendricks, journaliste part enquêter sur les émeutes qui secouent cette commune bruxelloise et fait la rencontre de Lahbib, qui devient son guide « dans son monde complexe et brutal ».
En avant-première exclusive, le FIFDA 2016 propose la projection du nouveau documentaire de la Franco-Algérienne Keira Maameri. Après la question féminine dans le hip-hop dans « On s’accroche à nos rêves » puis celle de l’islam et du rap dans « Don’t Panik », la réalisatrice s’est intéressée à la littérature dans « A nos plumes ».
On y découvre les portraits d’auteurs issus des banlieues et qui, malgré des succès commerciaux, restent marginalisés par le milieu. Le film traite de l’irruption dans la littérature française de nouveaux codes, de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux imaginaires qui cherchent encore légitimer leur place. La projection de « Nos plumes », programmée le samedi 10 septembre, sera suivie d’un débat avec la réalisatrice et les auteurs Faïza Guene, Berthet, Rachid Djaïdani et Rachid Santaki.
On y découvre les portraits d’auteurs issus des banlieues et qui, malgré des succès commerciaux, restent marginalisés par le milieu. Le film traite de l’irruption dans la littérature française de nouveaux codes, de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux imaginaires qui cherchent encore légitimer leur place. La projection de « Nos plumes », programmée le samedi 10 septembre, sera suivie d’un débat avec la réalisatrice et les auteurs Faïza Guene, Berthet, Rachid Djaïdani et Rachid Santaki.
Autre lutte cette fois moins abstraite, celle de Laïla, une immigrée marocaine qui s’insurge contre les conditions de travail des employés saisonniers en Belgique. L’héroïne d’« Insoumise » est une jeune informaticienne sans emploi qui s’exile en Europe et se travaille dans une exploitation agricole. « Insoumise », la fiction du Belgo-marocain Jawad Rhalid sera projeté le dimanche 11 juste avant le cocktail de clôture du festival. L’occasion, là encore, de croiser les diverses saveurs panafricaines.
Saphirnews vous fait gagner des places pour le Festival international des films de la diaspora africaine (FIFDA), du 9 au 11 septembre. Tentez votre chance ici.